J'ai toujours
été intrigué par l'expression «offrir l'autre côté». En analysant les diverses
situations dans lesquelles une réunion, une réunion difficile, a réussi, j'ai
constaté qu'il y avait un schéma.
La première
réaction a été d'essayer de contrôler la colère, l'angoisse, c'est-à-dire
d'abaisser, de mettre à zéro les émotions qui n'y contribuaient pas, les
émotions négatives, et d'atteindre un stade de neutralité qui nous permettrait
de passer à un moment d'émotions positives et positives. Le point clé du
renversement n'était pas de focaliser le blâme, de ne pas chercher le coupable
et d'offrir une issue à la situation. Ensuite, il y avait le schéma, voir les
faits, sortir du blâme, se concentrer sur la solution.
Il s'agissait
donc d'analyser ce qui s'était passé, et de passer le plus vite possible à la
recherche du résultat.
Le cycle a
montré qu'il y a un point de transition qui, s'il n'est pas surmonté, la
situation ne sera pas résolue, il patine ou s'aggrave. Si quelque chose de
nouveau n'est pas proposé qui rompt la séquence, transforme les émotions du
côté positif et fait que tout le monde regarde un nouvel angle de la question, la
culpabilité domine la relation.
J'ai alors
compris que le succès d'une relation ne s'obtient que lorsque quelqu'un, pour
réorienter ses émotions, offre une vue de l'autre côté du problème, Another
Face.
Ce sont des
alternatives, de nouvelles voies de sortie. Prenons le cas d'une pièce de
monnaie, on regarde à peine le côté non numérique, où les symboles, les
personnages racontent des histoires.
Offrir l'autre
visage peut être divin, pratique et précieux.
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